6 CONSEILS PRATIQUES

1. Utilisez chaque opportunité pour pratiquer la pleine conscience.
En route? Au lieu de vous impatienter aux feux rouges, reprenez contact avec votre respiration et lâchez prise. Ne perdez pas votre centre en attendant vos rendez-vous ou en faisant la queue.

2. Évitez le stress lié au temps. Lorsque vous allez quelque part, donnez-vous suffisamment de temps pour ne pas vous sentir pressé

3. On fait un effort pour stationnent dans un petit espace. Est-ce qu’on se détend complètement après?
Respirez profondément de temps à autre, et lâchez prise.

4. Vérifiez régulièrement que vous respirez par le ventre. Nous respirons tous par le diaphragme lorsque nous dormons, les bébés respirent tout le temps par le diaphragme. C’est relaxant.

5. Pratiquez l’optimisme intentionnel. Si votre esprit aime créer des scénarios alarmants, donnez-lui quelques leçons de positivité.

6. Gardez l’amour à l’esprit. Si vous êtes enseignant, cela signifie de l’amour pour vos élèves; si dans une profession d’aide, l’amour pour vos clients. Restez avec l’amour à tout moment, l’amour pour vous-même et l’amour pour les autres.
C’était le conseil de Bouddha pour surmonter le stress et l’anxiété.

THICH NHAT HANH SUR LA VIE

Thich Nhat Hanh a vécu au Vietnam pendant la guerre. Il connait le stress.
Il a également trouvé la paix avec sa pratique dans la tradition Bouddhiste.

1. Je me promets d’apprecier chaque minute de la journée..

2. Dans la pleine conscience, on n’est pas seulement reposé et heureux, mais alerte et éveillé. La méditation n’est pas une évasion; c’est une rencontre sereine avec la réalité.

3. Lorsque vous aimez quelqu’un, la meilleure chose que vous puissiez offrir est votre présence. Comment aimer si vous n’êtes pas là?

4. Ne faites aucune tâche pour en finir. Décidez de faire chaque travail de manière détendue, avec toute votre attention. Soyez un avec ce que vous faites.

5. Notre propre vie doit être notre message.

6. Les gens ont du mal à abandonner leur souffrance. Par peur de l’inconnu, ils préfèrent la souffrance familière.